Webographie
- Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=3AeUOv3yqpA
C’est une vidéo de 3 minutes 44 est une web-série réalisée par la ville de Chartres. Le but de cette dernière est de faire découvrir les enjeux du métier d’archéozoologue. Nous avons Julie Rivières qui explique le but de ce métier. Elle est archéozologue au service de l’archéologie de la ville de Chartres. Elle nous montre dans cette vidéo son métier avec une définition de l’archéozoologie. Elle explique étape par étape les différentes façons d’analyser les ossements des animaux. Elle dit comment déterminer le sexe de l’animal et leur âge. Elle explique également qu’il faut analyser les traces sur les ossements. Nous avons les dents qui donnent un âge plus précis, selon l’usure. Pendant ses explications, elle réalise des mesures d’un ossement face à la caméra pour que le spectateur visualise et comprenne facilement. Elle met en avant plusieurs types d’ossements. Nous apercevons rapidement que cette archéozoologue est dans une pièce dédiée à ce métier puisqu’il y a des sachets avec des ossements à l’intérieur, plusieurs cranes exposés et de nombreuses boites à rangements avec d’autres ossements. Ensuite, elle parle de toutes les choses liées aux animaux, comment ils étaient exploités et consommés par l’homme. Il faut s’intéresser à toutes les caractéristiques du passé pour comprendre ce que nous avons dans les mains de nos jours. L’archéozoologue termine en expliquant que ce métier doit remplir deux objectifs. Il faut restituer l’histoire naturelle ainsi que l’histoire humaine. Cette vidéo présente globalement les points clés du métier d’archéozoologue.
Cette vidéo, de 5.24 minutes, est une web-série faite par l’Université Panthéon-Sorbonne Paris 1, ayant pour but de découvrir des métiers notamment celui de l’archéologue, et plus précisément celui de l’archéozoologue. Ici, Annelise Binois-Roman explique, avec une définition de l’archéozoologie, en quoi consiste son travail. Elle est aujourd’hui maitre de conférence et étudie les pathologie animale et l’histoire des maladies animales, notamment grâce à son parcours de vétérinaire. Elle cherche donc à découvrir l’histoire des maladies anciennes afin de mieux comprendre les maladies actuelles. Elle donne les différents états dans lesquels on découvre des ossements animaliers ainsi que les raisons. Souvent, ces ossements sont cassés ou découpés car ils ont été mangés par les populations de l’époque, et il faut donc identifier l’animal ainsi que la partie anatomique. D’autres fois on retrouve toute la carcasse soit parce que les animaux sont morts de causes naturelle (maladie ou événements catastrophique) ou parce qu’ils ont été utilisés pour un rituel ou une pratique religieuse. A la suite de cette explication elle nous donne un exemple sur lequel elle a travaillée à Téteghem, où il y avait six moutons dans une même fosse. Après étude il s’agissait de six brebis, trois jeunes et trois plus âgées, qui sont décédé à la fin de l’hiver ou au printemps, et qu’il s’agissait d’un site marécageux. Avec toutes ces informations, ils ont émis l’hypothèse que les moutons étaient décédés de douve du foie, mais cette maladie ne laissant pas de traces sur les os ils ont alors prélevé des échantillons du sédiment se trouvant là où le foie de l’animal aurait dû se trouver. Avec des analyses ADN ancien en cherchant l’ADN de la douve du foie et ont pu confirmer l’hypothèse.
Il est évident que cette présentation du métier n’est qu’une partie voir qu’une branche du métier d’archéozoologue.
- Émission/article scientifique : https://www.inrap.fr/premieres-domestications-animales-dans-l-ancien-monde-les-donnees-de-l-6324
C’est une émission radio de France culture. Elle est scientifique puisqu’elle est publiée par l’INRAP. Ce dernier est l’institut national de recherches archéologiques préventives. C’est un site très pédagogique. Le titre de l’émission est : Premières domestications animales dans l'ancien monde : les données de l'archéozoologie. Il a été publié le 11 mars 2009 par Vincent Charpentier. La page commence par ce podcast qui dure 27 minutes 36. Il commence a expliqué que 6 chercheurs du CNRS ont été récompensé par le prix environnement de la recherche. Ils ont montré que la diffusion des animaux domestiques fut les premières invasions biologiques dont l’homme est responsable. Nous avons Anne Tresset, chargée de recherche au CNRS, et Joséphine Lesur, maître de conférence au MNHN qui viennent parler du sujet. L’émission radio parle de la domestication pendant le reste du temps et à la fin on évoque l’élevage comme influence de la biodiversité de la terre. L’homme domestique et donc modifie le paysage et les espaces des animaux. La domestication n’existait pas à l’état sauvage. C’est l’homme qui change comme il est précisé sur le site. Il y a donc sur cette page une émission radio, un résumé du sujet et une image. L’émission s’adresse à un large public. Cette émission est donc une branche de l’archéozoologie. Elle très est instructive et organisée par des professionnelles du métiers.
- Article scientifique : https://www.inrap.fr/les-sciences-de-l-archeologie/L-archeozoologie
C’est un article qui a une base très scientifique car il est fait par l’INRAP (Institut National de Recherches Archéologiques Préventives) mais il a tout de même un but pédagogique presque de médiation. Tout d’abord il y a une définition de la discipline qui est suivit des types de vestiges retrouvés et étudiés par les archéozoologues. Ensuite il y est expliqué le travail en laboratoire avec par exemple les collections de comparaisons. Une fois que cela est fait il faut émettre des hypothèses et des interprétations (rituel, abattage pour la consommation, ou autre). De plus l’article va au-delà de l’archéozoologie qui étudie le rapport entre Homme et animal et précise que l’animal a une place importante dans la vie de l’Homme car il représente souvent l’animal par des figurines, peinture ou gravures et bien d’autres. L’article se termine avec deux vidéos assez courtes la première explique la discipline à travers l’expérience de Ginette Auxiette qui est archéozoologue spécialisée dans la protohistoire. Cette vidéo est assez scientifique et ne peut pas s’adresser à n’importe qui tandis que la seconde vidéo s’adresse à un public large car elle peut même s’adresser aux enfants pour qu’ils comprennent l’importance et donc le rôle de l’archéozoologue dans la construction de l’histoire.
D’un point de vu académique cet article peut complétement être accepté car il est complet et très instructif. Il nous aide à bâtir une définition du métier ainsi que les différentes étapes que doit respecter l’archéozoologue pour étudier le mieux possible les vestiges. Il y est abordé aussi la necessité d’avoir accès à une ostéothèque afin de comparer les vestiges pour toujours mieux les identifier selon l’espèces et la place anatomique de l’animal ou de l’humain.
- Article scientifique : http://www.archeodunum.com/prestations/mobilier/prestation-archeozoologie/
Ce site est celui d’une société d’archéologie préventive Suisse créée en 1987 et arrivée en France en 2006. Elle est offre un champ de compétence qui va du Néolithique à nos jours. Elle est composée d’une équipe française de plus de 50 archéologues de spécialités différentes.
Tout d’abord cet article nous définit la discipline de l’archéozoologie, en quoi consiste-t-elle et pourquoi existe-t-elle. Ensuite il est énuméré les domaines d’application, les prestations faites par le groupe en question ainsi que leur compétences (chronologie, animal en particulier). Ensuite il est expliqué le protocole d’étude avec l’approche de terrain, l’analyse en laboratoire, les experts, les références et les clients, il s’agit donc d’une entreprise privée. Le contenu est clair, épuré et simple, il va droit au but. C’est un article scientifique même si très concis. L’auteur n’est pas identifié ici.
- Publication scientifique : https://www.persee.fr/doc/pica_0752-5656_2012_num_1_1_3276?q=arch%C3%A9ozoologie
Je vous présente un article scientifique d’une publication. Cette dernière peut être lu par un large public. Je vous présente un extrait de Revue archéologique de Picardie, en 2012. L’extrait que je vais vous présenter est rédigé par Benoit Clavel. Ce dernier est chargé de recherche en archéozoologie et en archéobotanique. Ce document est écrit par un professionnel, donc il est académique. La publication se trouve sur le site Persee. Ce dernier est un portail de diffusion de publications scientifiques, dans le domaine des sciences humaines et sociales. Tout d’abord, le document commence par évoquer la présence des animaux dans le passé. Il explique la relation entre les hommes et les animaux au Moyen-âge. Il met en avant le château de Boves et la présence de plus de 400 000 os et coquillages sur le terrain. On évoque dans ce document des animaux mangés ou exploités. L’article met en avant le rôle des produits animaux dans le château de Boves. On peut s’intéresser aux pages 216 et 217. Les principaux animaux présents dans le château de Boves sont le porc et le bœuf. Il faut compter et peser les restes de ces animaux. Nous voyons que l’animal le plus consommé est le porc. Il y a des graphiques qui montrent la consommation de ces animaux au château de Boves. Il y a une importante consommation de bovins également. Cet extrait est donc basé sur une particularité de l’archéozoologie. Pour connaître l’alimentation de nos ancêtres, il faut se baser sur un lieu précis, et trouver des ossements. Il faut ensuite les peser et les compter pour voir la quantité et quelle espèce était la plus consommée. Nous comprenons ensuite leur alimentation d’animaux. Cette publication scientifique est d’une très grande qualité. Les informations sont claires et précises.
- Publication scientifique : https://www.persee.fr/doc/bude_0004-5527_1995_num_1_1_1824
C’est un article scientifique d’une publication plus large, qui peut être lu par tout le monde. Il s’agit, d’un extrait de Bulletin de l'Association Guillaume Budé, n°1, mars 1995. Cet extrait est écrit par Claude Olive qui est archéologue. Ce document a une légitimité académique car elle est faite par un professionnel comme le reste du livre. Ce sont les pages 101 à 108 qui nous intéresse.
Pour commencer, l’auteur définit brièvement la discipline dans les deux premiers paragraphes. Il aborde l’importance de connaitre le site archéologique soit en s’y rendant, soit en lisant les publications faites par les archéologues du site en question, quoi qu’il en soit il est important surtout d’entretenir un dialogue et un échange avec l’archéologue responsable des fouilles pour faire au mieux le travail. Selo le site il faut savoir repérer la domestication des animaux comme par exemple avec le changement de morphologie des animaux en question. Les archéozoologue travaille avec la technique d’ostéométrie c’est-à-dire savoir mesurer les ossements pour toujours mieux les identifier. Il faut repérer si ces animaux font partit d’une économie de chasse ou d’élevage, ce qui va permettre d’apprendre et de connaitre les habitudes de consommation carnée. Il peut être demandé au spécialiste de déterminer les âges d’abattage via l’usure dentaire ainsi que l’épiphysation des os, par exemple : pour les bovins et ovins élever pour la boucherie ont entre 6 et 36 mois, tandis que ceux élevé pour la production de laine, de lait ou servant à la traction sont abattus après 6 ou 7 ans. Il faut également savoir identifier les activités liées à la chasse, ce qui est en généralement difficile à faire, surtout à partir du premier siècle de notre ère et qui dépend des régions également. De plus les animaux peuvent être chassé ou capturés pour leur viande, leur peau ou les deux. L’archéozoologue doit ainsi identifier les traces laissées sur les vestiges osseux pour préciser la cause de la mort, comme par exemple : un coup sur la tête pour assommer l’animal avant sa consommation, ou les traces de boucherie, ainsi que plus précisément des traces laissées sur l’os hyoïde qui montrent la consommation de la langue de l’animal. D’autres traces peuvent laissées penser que l’artisan ayant besoin d’os long demande au boucher de ne pas fragmenter l’os. Les pathologies peuvent être identifiable sur les os comme l’arthrose ou des abcès dentaire qui ont provoqué une nécrose de la dent. Les analyses archéozoologiques croisées avec elles archéologique et historique aident à reconstituer différents évènements comme par exemple la présence de nombreux bassins de bœufs retrouvés dans une fosse qui peuvent expliquer un grand festin dont les restent ont tous été jeté dans une seule et même fosse. De plus, connaitre l’âge d’abattage permet d’identifier les éventuelles fêtes qui ont pu avoir lieux au cours de l’année.
- Page Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Archéozoologie
Cette page Wikipédia est a été modifié la dernière fois le 31 mars 2020. Les informations sur cette page sont données par des amateurs. Ces personnes s’inspirent d’articles et bibliographies professionnels. Wikipédia est une encyclopédie universelle. Cette dernière commence par une définition du métier d’archéozoologue. Elle met en avant plusieurs catégories liées au métier. Cette page explique les moyens de l’archéozoologie. Wikipédia explique que l’archéozoologie met en avant des objets classés. Sur cette page Wikipédia, nous sommes accueillis par une définition et une photo à la droite de la page. Cette dernière permet de visualiser au mieux l’enjeu du métier. Ce site a un but pédagogique puisqu’il renseigne un large public. A la fin de la page, il y a des informations sur d’autres disciplines liées au métier d’archéozoologue. Cette page Wikipédia consacrée à l’archéozoologie est instructive. Elle est rédigée par des amateurs mais elle est compréhensive et claire. Le métier est défini clairement.
- Interview scientifique : https://www.sciencesetavenir.fr/fondamental/l-archeozoologie-ou-l-art-de-faire-parler-les-ossements-d-animaux_8069
Article rédigé par Cécile Dumas qui est simple journaliste pour Sciences et Avenir, magasine dédier au grand public, tout le monde peut y avoir facilement accès. Ici il s’agit d’une interview de la directrice adjointe du laboratoire d’archéozoologie et archéobotanique au muséum, Christine Lefèvre, à l’occasion du congrès d’archéozoologie qui a eu lieu du 23 au 28 août 2010. Cette interview est constituée de cinq questions. La première porte sur la promotion de la discipline, la seconde sur l’état de celle-ci en France et son rapport avec l’archéologie, la troisième porte les répercussions de la fragilité de la biodiversité sur l’archéozoologie, la suivante est sur les l’utilisations des nouveaux outils scientifiques comme l’analyse ADN, et pour finir c’est une question très personnelle qui lui est posé sur son sentiment du nombre de personnes présente pour ce congrès. Ce qui ressort de cet article est que cette discipline est importante car elle apporte beaucoup dans la connaissance et la compréhension des gestes humains comme les rites ou l’élevage, que celle-ci se porte de mieux en mieux en France, qu’ils sont souvent interrogés pour parler de la biodiversités en général afin de comprendre ce qui pourrait arriver pour celle-ci au fur et à mesure du temps, et que les archéozoologues travaillent de plus en plus en collaboration étroite avec les scientifiques et que c’est comme ça que nous pourrons étendre la connaissance. Pour terminer cette interview, Christine Lefèvre se réjouit du nombre de personnes présente pour cet évènement. Elle explique avoir prit contact avec différents archéozoologue de différents endroits dans le monde afin de les faire venir pour cette occasion.
Cet article est une interview scientifique et peut être légitime d’un point de vu académique car elle interroge une spécialiste ceci dit il n’y a pas beaucoup de contenu.
- Blog : https://www.archeozoo.org/
Ce site est un blog nommée ArchéoZoo. Le but de ce dernier est de mettre en avant des informations et des ressources sur l’archéozoologie. Le site est géré par des amateurs. Ce blog réuni plusieurs articles liés à l’archéozoologie. Nous pouvons en citer un qui date du 12 novembre 2019. Cet article propose une application en 3D nommée « vertébrés ». Elle est développée par Laetoli Production. Cette application permet de visualiser plusieurs ossements et 12 spécimens. Pour revenir au blog, il propose des vidéos et des ouvrages toujours liés au domaine de l’archéozoologie. Dans un blog, il y a un forum. Pour discuter sérieusement sur ce site, il faut s’y inscrire. Les personnes peuvent découvrir le blog mais doivent s’inscrire sur ce dernier pour pouvoir discuter avec d’autres passionnés de l’archéozoologie. Nous pouvons apercevoir une définition de l’archéozoologie. Ce blog met donc en avant une large palette d’informations sur l’archéozoologie pour le public. Il regroupe beaucoup de disciplines. Pour moi, c’est un blog assez complet et riche en informations. Il permet de découvrir le métier. Il y a aussi un agenda qui permet aux passionnés et scientifiques de se rencontrer lors de différents événements en lien avec l’archéozoologie. Ce blog est d’une bonne qualité.
- Article médiation : https://www.archeologie-et-patrimoine.com/archeozoologie/
C’est un article de médiation, écrit par Nicolas Prudhommes qui a créé le site et qui est archéologue. Il n’est donc pas spécialisé en archéozoologie mais connait la profession. Il la définit clairement, donne les méthodes sur le terrain ainsi que celles en laboratoire comme la radiographie ou l’ostéométrie. Il note qu’il faut connaitre l’environnement et cette discipline ce couple donc avec d’autres comme la taphonomie etc. Il faut relever toutes les traces pour donner la cause de la mort de l’animal, c’est une des premières questions que l’archéozoologue se pose par exemple. Et après il faut interpréter les vestiges osseux grâce à pleins d’autre facteurs trouvés comme les traces sur le fragment osseux qui pourront dire s’il est mort de la chasse, s’il a été victime de charognage ou autre. C’est un site de médiation autour de l’archéologie et du patrimoine il regroupe donc beaucoup de discipline. Selon moi c’est un article qui peut être recommandé en cours car il englobe beaucoup d’informations important, c’est pertinent et de qualité.
- Article scientifique : https://www-cairn-info.ezpaarse.univ-paris1.fr/guide-des-methodes-de-l-archeologie--9782707158253-page-40.htm